jeudi 5 novembre 2009

T.Rex - Electric Warrior


Personne ne l'avait vu venir.. Un duo folk, en fin des années 60, écrivant des chansons sur l'oeuvre de Tolkien.. qui aurait pu le percevoir de toute façon ! Mais pourtant, de ce petit hippie, toute une nouvelle culture est née. Marc Bolan créa donc le Glam Rock en 1971 avec son album Electric Warrior, album ultra culte qui fêtera bientôt ses 40 ans. Le Royaume-Unis ayant à peine le temps de se réjouir d'un de leur talent local composé de 4 jeunes talentueux, voilà qu'un autre artiste créer un autre buzz mondial.

C'est donc avec Electric Warrior que Marc Bolan se fait connaître internationalement, abordant maintenant un look qui deviendra un élément clé du mouvement. Reconnu souvent par son chant ténor calme et ses cris de félins, ainsi que par l'utilisation de divers instruments peu commun et d'un bon usages des percussion, T.Rex évoluera avec cette album vers ce qui deviendra les bases du glam rock.

Un retour au rock n' roll plus basique contrairement aux envolés plus psychédélique des précédents albums est donc ici plus assumé, des choeurs parsèmes les refains et des rythmes plus dansants sont exploités. On note dans cette lignés des compos comme Mambo Sun, Jeepster, Rip Off et Get It On. D'autres compos plus calmes comme Cosmic Dancer, Life's A Gas et Planet Queen, et d'autres plus bluesy comme Lean Woman Blues. Tout ici tant vers une évolution jamais vraiment exploité et ouvre de grandes portes à d'autres artiste comme David Bowie, qui se servira beaucoup de ses nouvelles orientations pour se forger une carrière, et Elton John.

Bref, un album incontournable pour les fans de la musique! Cette première dose de paillettes à avoir surgi dans ce monde est tout bonnement mythique et mérite de capturer l'attention de votre oreille, simplement par curiosité historique, ou mieu, pour l'intégrer dans votre discograqphie quotidienne, mensuelle ou annuelle. Electric Warrior ne fait pas son âge malgré ses quelques rides, et reste un incontournable du rock et de ses dérivés.

mercredi 21 octobre 2009

Bruce Springsteen - Working On A Dream



Connaissant seulement son oeuvre en surface et ayant écouté seulement son album Born In The USA en intégralité, je me trouvais un bien mauvais juge pour critiquer le nouvel album du Boss. Mon approche sera donc plus personnel, et non une critique évaluant l'album dans sa discographie complète.


Lorsque j'ai écouté pour la première fois Working On A Dream, je m'attendais à un album rock dans le style de Born In The USA. J'ai été un peu déçu après mon écoute, car la majorité des 13 chansons ici sont des mid-tempos ou des balades. Mais, loin de moi l'idée d'écarter un disque pour cet simple raison, j'ai percévèré et réécouté l'album quelques fois.


Verdict final: j'aurais aimer plus de compos comme My Lucky Day et Good Eye, mais force est de constater que les autres pièces sont aussi très efficasse. J'ai bien aimé Queen of the Supermarket, chanson que n'aurait pas renié Tom Petty, avec sa monté en intensité. Seul la fin peu troubler à la première écoute, fesant penser à Radiohead invité sur une soundtrack d'un b-movie.
Working On A Dream est également très forte. Elle peut par contre devenir redondante avec son titre répété 20 fois en 3 minutes 30.
Outlaw Pete est aussi génial avec son orchestration pas trop chargé et son harmonica western qui rappel les meilleurs scènes de Once Upon A Time In The West. Bruce demande «Can you hear me ?», et avec sa voix, il est évident que le Boss sait se faire entendre! Quel question!


La voix de Bruce donc est magnifique. On peut le voir entre autre sur les couplets de What Love Can Do (mon coup de coeur de l'album). Il pousse parfois sa voix déjà très imposante comme sur Good Eye, qui me rappel un mix entre Hanoï Rocks et Led Zepplin, pour un bel effet bien old school, et l'adouci comme sur Tomorrow Never Knows.


Dans la majorité des cas, les compositions reste très bonne et se laisse écouter sans problème. J'ai bien apprécier Lit Yourself, What Love Can Do, Good Eye, Tommorrow Never Knows, My Lucky Day, Kingdom of Days, Surprise Surprise, The Last Carnival et évidement The Wrestler! Il y a seulement This Life que j'aime moins, car je trouve sa structure moins définis et plus dure à accrocher, et le vocal un peu trop en retrait face à l'instrumental. Sa fin viens rattraper un peu le coup avec ses choeurs et son solo de sax, mais il est trop tard pour moi.


Par contre, l'album reste très bon et les fans seront ravit de revoir le Boss en pleine forme! Sa voix distincte et son style d'écriture efficasse sauront vous accrocher l'oreille tout le long du disque. J'ai bien apprécié moi-même, même si j'aurais rajoutté quelques pièce plus rock, qu'il sais très bien écrire et interprêter d'ailleurs. Bon album donc, avec de bonne chansons rock et folk qui ne réinvente rien, mais qui s'écoute à merveille! Il n'est peut-être plus l'avenir du rock n' roll comme l'avais jadis déclaré Jon Landau, mais il reste fidèle à ses racines et continu une évolution logique de son oeuvre (de ce que j'en connais du moins). Je serais assurément au rendez-vous pour voir ce que Springsteen nous offrira pour son prochain opus, en espérant entendre sa voix le plus tôt possible. Mais de toute façon, c'est le boss qui décide..

mardi 20 octobre 2009

Marilyn Manson - The High End of Low



L'enfant terrible. L'antéchrist. L'androgyne. Tant de pseudonymes lui a été attribué et tant de rumeurs fausses ont circulés à son sujet. Ne perdons pas de tant sur les potins et entrons tout de suite dans le vif du sujets. The High End of Low 8ième album de Brian Warner alias Marilyn Manson.

Avec les années, les styles de Manson ont beaucoup changés. Partant d'un début rock heavy, allant vers un tournant beaucoup plus glam rock et explorant par la suite un son plus cabaret burlesque, il a toujours su adapter son style et se renouveller.
Pour son nouvel album, le style est plutôt imprécis. Disons que c'est un mix à ses deux précédent opus Eat Me, Drink Me et The Golden Age of Grotesque. Manson a déclaré:

«Je crois définitivement que ma vie se finit et commence. Ce disque est artistiquement abouti et paraît presque optimiste, étrange mot utilisé. C'est comme un phoenix qui renaît de ses cendres et commence une nouvelle vie»

En effet, après sa rupture avec la mannequin Dita Von Teese, on a senti son dernier album assez dépressif et sombrant dans la peine d'amour (mais un album excellent tout de même). Maintenant, on sent que Manson a repris sur lui et nous offre un retour respectable. Comme l'indique la première chanson Devour, avec son «And I love you if you let me» avant d'un «I will blow your heart to pieces», on sent a nouveau la complexité et la contradiction du personnage refaire surface.

L'album oscille entre du très bon, du bon et du moins bon. Aucune compos vraiment mauvaise ici, mais quelques compositions qui auraient surement méritées quelques retouches. Parmis le très bon ont a le magnifique single Arma-Goddamn-Motherfuckin-Geddon et Wow avec leurs grooves électro; le premier extrait We're From America avec sa critique social basique mais efficasse, et la balade au piano Into The Fire où Manson réussi l'exploit d'émouvoir.

D'autres bonnes compositions mérites tout de même l'attention comme Pretty As A ($), Four Rusted Horses, Blank And White, Running To The Edge of The World et I Want To Kill You Like They Do In The Movies. Par contre, peu de chansons vont rester mémorables outres les deux singles. Disons qu'on est loin d'album à hits comme The Golden Age of Grotesque et Mechanical Animals.

Bref l'album reste bon dans son ensemble, mais pas plus. Peut-être trop sombre dans sa longueur et avec pas assez de moments forts (il faut dire qu'il y a 15 chansons aussi). Reste à voir si pour sa rennaissance, Manson va poursuivre vers la route qu'il emprunte ici ou vers son potentiel à faire des hits plus mainstream, mais oh combien bon, qu'il avait empruntée il y a une époque.

Iggy Pop - Préliminaires



Je ne revienderais pas sur le passé de Iggy Pop, car la majorité de vous le connaît, ne serait-ce qu'en surface. Mais, après avoir contribué grandement avec The Stooges à la naissance du punk, Iggy a pris une pause des guitares saturées, et ce depuis quelques années déjà. Après avoir fait quelques petits guest par-ci par-là (entre autre l'excellente pièce Punk Rocker avec le groupe électro Teddybears), l'homme-serpent nous reviens avec un album à des années lumières de ses origines.


Préliminaires est donc un album que Mr. Pop avais le goût de faire depuis longtemps, malgré tout les dires qui débouleraient par la suite. On a donc ici un album à saveur jazzy, avec sa voix basse rappelant Leonard Cohen. Troublant à la première écoute, on assimile vite les très bonne mélodies parsemant l'album. Tout n'y ait pas génial, mais beaucoup de compositions sont mémorable dont Les Feuilles Mortes, Kings of Dogs, Je Sais Que Tu Sais et Nice To Be Dead.


Le tout est généralement jazzy/loundge, mais quelques chansons reprennent quelques élément de folk comme He's Dead She's Alive et A Machine For Loving, et électro comme Party Time. Ce qui est désolant par contre, c'est que Iggy réinterprête les différentes mélodies sur plusieurs chansons. Ainsi, Les Feuilles Mortes ouvre et ferme à la fois le disque, et Je Sais Que Tu Sais et She's A Buissness sont pratiquement semblables en tout point outre quelques petits détails.Ce qui nous donne réellement 10 compositions originales au lieux de 12.


Malgré ça, l'album s'écoute très bien et reste agréable à mettre en ambiance. Les compositions relaxante et la voix de Iggy coule à la perfection, et même si l'originalité n'est pas à son meilleur durant tout le disque, on peux au moins passé du bon temps à se laisser bercer pendant les courtes 36 minutes du disque. Quoi que la courte durée est peut-être justifié par le titre de l'album. Prévoyer donc autre chose pour la suite..

lundi 19 octobre 2009

Guns N' Roses - Chinese Democracy


Chinese Democracy fêtera sa première année le mois prochain. De plus, Axl et ses amis nous renderons visite le 1er février au colisée pepsi, pour le plus grand plaisir des fans. Le timing est donc idéal pour faire ma critique de Chinese Democracy. Un an à digérer le dernier album de mon groupe préféré, je suis maintenant en mesure de m'attaquer à un track-by-track de l'album, pour oublier le moins de détails possible
.
Mais avant tout, j'aimerais démistifier certaines choses. Chaque fois que j'entend parler du groupe dans les médias ou ailleurs, j'entend toujours les même âneries:


« C'est pas Guns N' Roses! Il reste seulement Axl du groupe original! Et ça peux pas être Guns sans Slash! »


Le groupe original date de 1985 et ses membres étais: Axl Rose, Izzy Stradlin, Tracii Guns, Ole Beich et Rob Gandner. Puis, en avril 1985, Ole fut remplacé par Duff McKagnan. Donc, seulement Axl et Izzy sont du line-up original sur Appetite for Destruction. Et pour ceux qui qualifierais les membres de Appetite comme ceux du line-up original, et bien sachez que sur les Use Your Illusions, il manque Steven Adler qui fut remplacé par Matt Sorum, et il y a un nouveau membre: Dizzy Reed (qui est encore dans le groupe aujourd'hui). Donc pour ceux qui chiale sur les membres originaux, l'arguments n'est pas crédible et Slash n'en fait même pas parti d'ailleurs.


Et pour ceux qui vante le génie de Slash, sachez que la majorité des riffs populaire du groupe sont issu de Axl. On lui doit d'ailleur le riff Sweet Child O' Mine, que Slash n'aimait pas soit dit en passant. Certe Slash a du talent, mais ne sait pas l'exploiter. Écouter ses projets solo pour vous en rendre compte.


Finalement, pour ceux qui disent que le groupe s'est séparé à cause de Axl, c'est totalement faux, et toute biographie honnête le rapporte. Tout le monde sauf Axl étais dans des problêmes de dépendance de drogue et d'alcool. Ils ne se présentaient souvent jamais au pratique ou arrivaient défoncés sur scène ce qui fesait flipper Axl. Certe, Axl a des problèmes de comportement, mais lui mettre la séparation du groupe sur le dos est très poussé. Vous pouvez d'ailleur trouvés des vidéos de leur célèbre première parti des Rolling Stones où Slash n'arrivait plus à jouer (dû a une dose d'héroïne injecté avant le spectacle) où Axl a déclaré "If certain members don't stop dancing with Mr. Brownstone, these may be the last shows you'll see"


Bref, ils reste Axl et Dizzy dans le groupe. Et sachant ça, il n'y a aucune raison pour se plaindre que le groupe ne sonne plus comme avant et que les solos ne sont pas ceux de Slash. C'est seulement logique si vous y penser..


Enfin, l'album est là! Et les 15 ans «d'attente» (car personne ne l'a vraimment «attendu» 15 ans) ne devraientt en aucun cas affecter l'écoute, car Axl a pas travaillé toutes ses années dessus! L'album s'est réellement fait en 3 ans. Le reste du temps s'est fait dans les poursuites, les questions de droits etc. Et Axl a affirmé qu'il avait 3 autres album de prêt qu'il sortira en temps et lieu. Mais de toute façon, Axl ne nous doit rien. S'il veux prendre 25 ans comme les New York Dolls pour refaire un album, c'est son droit. Donc l'argument du temps ne devrait pas être pris en compte lors de l'écoute de l'album.
Ceci dit, voici un track-by-track de l'album:


1- Chinese Democracy; la compo qui fait le plus penser au Guns old school. Bon riff de guitare heavy avec Axl qui supperpose sa voix aigu et sa voix basse. Sa sonne très bien et le mix est super. Je connais cette chanson depuis 2005, grâce au leaks sur internet, et je peux affirmer qu'elle a connu une grosse évolution au niveau du son. Et la version originale ne comportais que sa voix basse. Bref, une bonne entrée!


2- Schackler's Revenge; on voit ici l'influence du metal indus, style que Axl aime bien. Sorti un peu avant son exclusivité Rock Band sur internet sous le nom de Chicken Dinner, j'avais été agréablement surpris lors de sa première écoute. Je trouve encore aujourd'hui que la compos est très efficase avec son refrain catchy et son solo de shred très bien maîtrisé.


3- Better; loin d'être une nouvel chanson pour moi, je l'ai connu en 2006 avec la vague de leaks comprenant There Was A Time, IRS et Catcher In The Rye. Elle a toujours son effet sur moi, je la trouve bien rendu, mainstream mais pas trop, et avec des paroles très fortes. Le solo de Buckethead est également un moment fort de la chanson. Axl démontre ici sa voix toujours aussi efficasse, sinon plus qu'avant.


4- Street of Dreams; anciennement connu sous le nom de The Blues. On a affaire ici à la ballade dans le style de Sweet Child, mais plus accentué piano. D'ailleurs le piano mixer avec la voix d'Axl donne un effet magnifique (comme sur This I Love). Les paroles sont également très belle et diriger envers Stephanie Seymour, l'ex copine de Axl: «What I though was beautiful don't live inside of you anymore».


5- If The World; compo avec une ambiance latino/électro qui fonctionne très bien. Une des très belle surprise de l'album! J'adore l'audace d'Axl a plongé dans ce genre de mix pour en ressortir une compo unique et personnel. Le solo est génial et sa voix va encore une fois très bien avec le style. D'ailleurs les solos des différents guitaristes sont très bien exécuter, et même si certain peuvent regretter l'absence de Slash, on peu ici retrouver une variété de bons solos qui sauront combler une partie du vide.

6- There Was A Time; ma chanson préféré de l'album. Une grand composition ici avec une fin à couper le souffle. La pièce commence avec un beat électro basique, un riff assez simple de guitare et la voix de Axl nous racontant sont époque à L.A. Le refrain arrive ensuite, puis suis le 2ième couplet avec la guitare plus présente, ensuite le refrain à nouveau, le bridge avec son orchestre plus présente, puis après tout se calme. La guitare réenchaine légèrement avec le beat du début en arrière plan. Un solo de guitare suis, puis BANG! Les choeurs entre en scène! Un choeur génial avec la voix de Axl en arrière qui cri « I would do anything for you ». Axl atteint ses cris les plus aigu en carrière de 4:03 à 4:20... vraiment étonnant. Le fin de cette compos m'a donné des frissons dès la première fois que je l'ai entendu.


7- Catcher In The Rye; belle compos: piano, guitare bluegrass, paroles traitant de la mort de John Lenon. Le mix final est peut-être un peu chargé comparé à la version que j'avais entendu des leaks de 2006, mais c'est tout. Les paroles encore une fois sont très bien, surtout ceux qui clôt la chanson:


«Somehow you set the wheels in motion
That haunt our memories
You were the instrument
You were the one
How a body
Took a body
Who gave that boy a gun
You took our innocence
Behind our stares
Sometimes the only thing we counted on
When no one else was there»


8- Scraped; intro sympathique avec des choeurs qui enchaîne avec un groove heavy. Axl alterne ici entre sa voix aigu et sa voix basse significativement dans des couplets traitant de sa bipolarité. Rien vraiment à dire, sinon que c'est heavy et efficasse!

9- Riad N' The Bedouins; autre compos heavy ici très efficase. Les lignes vocales des couplets sonne merveilleusement bien et le solo «rentre au poste» ! On sais pas trop de quoi parle la chanson, car il y a plusieurs possibilités (les anciens membres du groupe, Seymour..), mais malgré ça on sent la rage de Axl. Efficasse et à écouter plusieurs fois pour vraiment l'aimer.


10- Sorry; autre surprise de l'album. On peux percevoir une certaine influence de Pink Floyd ici. Compo mollo avec de excellente paroles à réciter lors d'une séparation. J'aime particulièrement

«It's harder to live with the truth about you Than to live with the lies about me »

ou le gratuit


« You talk too much
You say I do
Difference is nobody cares about you»


Très bonne compos! (À noter la présence de Sebastian Bach en back vocals)


11- IRS; compos très lyrics ici, et heureusement certains des meilleurs lyrics sont dans cette chanson. Encore une fois Axl fait des merveilles et ses musiciens aussi. Légère influence indus/rock avec un beat soutenu, la compo vous prend et vous lâche pas. Et le cri aigu de 10 seconde de Axl est génial. J'adore!


12- Madagascar; frisson garanti ici. Compo plus molo avec des effets de keyboards, un beat électro et des paroles touchantes. Mais le must reste le montage des citations de films et du discours I Have A Dream de Martin Luther King Jr. en milieu de chanson. Un hit en show garanti!


13- This I Love; piano et voix, c'est tout ce qu'on a de besoin ici, et sa fait des miracle. La chanson donne l'impression d'une chanson de broadway. C'est grandiose tout en demeurant restreint. Le refrain est poignant! Axl parle soit de sa mère ou de son ex-femme, mais peu importe c'est émouvant. Plus droit au coeur encore que November Rain.


14- Prostitute; compos qu'on a de la difficulté a accrocher au départ. Elle me rappel un peu la période des Use Your Illusions. Peut-être la moins bonne pour moi de l'album, je trouve qu'elle est un peu longue et que sa place sur la tracklist est discutable, mais sa reste tout de même une belle chanson.


Bref, Chinese Democracy est un album que j'ai grandement apprécié et attendu (bien plus que certains qui s'en plaint). C'est un album qu'on aime de plus en plus à chaque écoute et mérite quelques écoutes pour l'apprécier vraiment. Si il n'a pas la force cru, la hargne et l'impression du «live» de Appetite, il a pour mérite d'être totalement l'inverse et d'avoir plusieurs détails qui se découvre d'écoute en écoute. Le son hard rock des début est plus mis à l'écart pour du rock qui prend différents moules, mais ça n'empêche aucunement la valeur de l'album. Un album riche et chargé donc, qui mérite votre attention. Si vous êtes assez percévérant pour l'apprivoiser, vous ne le regretterer pas!